Une étude réalisée par l’association défendant le granulé Propellet confirme que ce dernier a toute sa place dans le collectif.
Si aujourd’hui le marché du domestique lui est exclusivement dédié avec 95 % des poêles et chaudières, sa consommation cumulée pour le secteur collectif et industriel s’élevait en 2019 à 70 000 t/an… soit moins de 5 % de la consommation de granulé de bois en France. Pire, hors CPCU le granulé représente seulement 2 % de l’énergie dans les chaufferies collectives et industrielles au bois (alors que le nombre de chaufferies bois représente près de 20 % de l’ensemble). La très large majorité d’entre elles est fournie par le bois déchiqueté. Par son étude, Propellet a donc voulu souligner la pertinence du granulé pour un usage collectif. « Grâce à sa densité énergétique, son homogénéité, son coût, son excellent bilan carbone et sa combustion propre et sa flexibilité d’utilisation, le granulé répond à des besoins spécifiques qui le rendent incontournable dans le mix énergétique français. Avec plus de 1100 chaufferies au granulé de bois en France dans des écoles, lycées, gymnases, les retours d’expérience sont nombreux et très satisfaisants », explique l’association.
