En amont d’Interclima, mais aussi pendant les quatre jours du salon où France Air sera présent par ce biais, l’industriel part à la rencontre de ses clients avec un showroom mobile de 90 m2.
Du 17 septembre au 5 novembre, le showroom de France Air va se déplacer dans 13 villes françaises. Sur une surface de 90 m2, il présentera une dizaine d’équipements en fonctionnement. Les équipes locales auront alors une occasion unique de réunir leurs clients maîtres d’ouvrage, installateurs, architectes et bureaux d’études. « En ce moment, nous trouvons que l’ambiance générale dans la filière du bâtiment se concentre autour de la recherche de solutions innovantes pour une construction d’avenir et durable », souligne Jean-Philippe Bitouzet, directeur général de France Air. « Nous observons beaucoup de créativité et sommes convaincus que les solutions seront originales, régionales voire adaptées à certains types de bâtiments. Déjà engagés sur ces thématiques de durabilité, de confort et de santé, nous souhaitons aller plus loin avec ce showroom itinérant. » Les dernières innovations de France Air seront mises en avant, notamment le diffuseur et plénum intégrant un épurateur d’air qui embarque un ioniseur plasma froid, « QAI », lauréat de bronze des Awards de l’Innovation d’Interclima. Parmi les autres nouveautés, citons la nouvelle régulation Oxéo Touch 3 pour les CTA à récupération d’énergie, plus intuitive et ergonomique pour faciliter les mises en service, tout en offrant davantage de possibilités de réglages pour les experts. A l’honneur également, la nouvelle gamme de caissons VMC pour le logement collectif et le petit tertiaire, basse consommation car dotés de moteurs ECM et 100 % fabriqués en Normandie. Côté design, en parallèle du diffuseur Gipsair lancé l’année dernière pour s’intégrer et disparaître dans un faux-plafond, Interstell’Air fait une entrée remarquée : cette gamme de bouches offre de nombreuses possibilités de design avec un choix de 17 façades différents. « La diffusion se fait objet de décoration et nous l’assumons ! », conclut Jean-Philippe Bitouzet.