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Combien de logements en France ?

08 DÉCEMBRE 2017 - LBP

On compte en France, au dernier « recensement » de l’Insee, très précisément

logements

35,7 millions de logements (hors Mayotte), dont 34,8 millions en France métropolitaine. Depuis trente ans, le parc s’accroît de 1,1 % par an en moyenne. Aujourd’hui, 82 % des logements sont des résidences principales (soit 28,6 millions), 10 % sont des résidences secondaires ou des logements occasionnels, et 8 % sont des logements vacants. Le nombre de logements vacants s'accroît depuis 2006 dans l'ensemble des unités urbaines, sauf Paris. Cette hausse concerne à la fois les logements individuels et les logements collectifs.

En 2017, l’habitat individuel représente 56 % des logements : il est majoritaire parmi les résidences principales comme parmi les résidences secondaires et les logements occasionnels. Après avoir progressé entre 1999 et 2008, sa part recule légèrement. En effet, le nombre de logements collectifs augmente plus vite que celui des logements individuels du fait des évolutions récentes de la construction neuve.

L'unité urbaine de Paris rassemble 16 % des résidences principales, et les communes rurales, 42 % des résidences secondaires. Dans les départements d’outre-mer (DOM), le parc de logements augmente plus vite qu’en métropole, de l'ordre de 2,5 % en moyenne par an depuis trente ans contre 1,1 % en métropole.

58 % des ménages sont propriétaires de leur résidence principale. Cette part n’a cessé de croître depuis les années 1980 jusqu’en 2010, mais elle est stable ces dernières années. Parmi les propriétaires, environ un tiers sont accédants, c’est à dire qu’ils n’ont pas fini de rembourser leur emprunt pour l’achat du logement. La part d’accédants à la propriété a fortement augmenté dans les années 1980 avant de baisser jusqu'au milieu des années 2000. Elle est stable depuis. La part des propriétaires sans charges de remboursement croît en partie sous l’effet du vieillissement de la population. En trente ans, elle est passée de 28 % à 38 % des ménages. Dans le parc locatif, les parts respectives des bailleurs publics et privés atteignent 17 % et 23 % des résidences principales en 2017.

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#1 jean.grossmann@gmail.com - 08/12/2017 à 10:06
Voilà qui est clair
Merci l'INSEE
Cela semble plus précis que les informations de l'UNPI

34,8 millions de logements en France métropolitaine avec un parc s’accroît de 1,1 % par an en moyenne depuis trente ans.

Ces logements etant actuellement constitués pour 82 % de résidences principales, 10 % de résidences secondaires ou des logements occasionnels, et 8 % de logements vacants.

Ceci avec un nombre de logements vacants qui s'accroît depuis 2006 dans l'ensemble des unités urbaines qu'il s'agisse des logements individuels et les logements collectifs (sauf à Paris.)

Ceci avec en 2017 un habitat individuel majoritaire qui représente 56 % des logements qu'il s'agissent des résidences principales, des résidences secondaires ou des logements occasionnels.
Cela avec stagnation voire un léger recul du logement individuel alors que le nombre de logements collectifs augmente plus vite que celui des logements individuels du fait des évolutions récentes de la construction neuve.

Reste l'unité urbaine de Paris + banlieue avec des chiffres de l'INSEE plus difficile à exploiter (16 % en résidences principales et 42 % pour les communes rurales,
Le porte parole du CSLT souhaiterais que l'INSEE soit plus clair pour Paris qui fait l'objet d'une étude en ce qui concerne la généralisation du chauffage urbain

Un chiffre rassurant de L'INSEE qui constate que la part des ménages propriétaires de leur résidence principale augmente depuis les années 1980 pour atteindre 58 % en 2010 en restant stable ces dernières années. Ceci avec environ un tiers des propriétaires qui sont des
accédants, CAD qu’ils n’ont pas fini de rembourser leur emprunt pour l’achat du logement et 2/3 des propriétaires sans charges de remboursement cette p2rt ayant tendance à croîte sous l’effet du vieillissement de la population.

Dans le parc locatif, les parts respectives des bailleurs publics et privés atteignent 17 % et 23 % des résidences principales en 2017.

#2 jean.grossmann@gmail.com - 08/12/2017 à 10:07
Voilà qui est clair
Merci l'INSEE
Cela semble plus précis que les informations de l'UNPI

34,8 millions de logements en France métropolitaine avec un parc s’accroît de 1,1 % par an en moyenne depuis trente ans.

Ces logements etant actuellement constitués pour 82 % de résidences principales, 10 % de résidences secondaires ou des logements occasionnels, et 8 % de logements vacants.

Ceci avec un nombre de logements vacants qui s'accroît depuis 2006 dans l'ensemble des unités urbaines qu'il s'agisse des logements individuels et les logements collectifs (sauf à Paris.)

Ceci avec en 2017 un habitat individuel majoritaire qui représente 56 % des logements qu'il s'agissent des résidences principales, des résidences secondaires ou des logements occasionnels.
Cela avec stagnation voire un léger recul du logement individuel alors que le nombre de logements collectifs augmente plus vite que celui des logements individuels du fait des évolutions récentes de la construction neuve.

Reste l'unité urbaine de Paris + banlieue avec des chiffres de l'INSEE plus difficile à exploiter (16 % en résidences principales et 42 % pour les communes rurales,
Le porte parole du CSLT souhaiterais que l'INSEE soit plus clair pour Paris qui fait l'objet d'une étude en ce qui concerne la généralisation du chauffage urbain

Un chiffre rassurant de L'INSEE qui constate que la part des ménages propriétaires de leur résidence principale augmente depuis les années 1980 pour atteindre 58 % en 2010 en restant stable ces dernières années. Ceci avec environ un tiers des propriétaires qui sont des
accédants, CAD qu’ils n’ont pas fini de rembourser leur emprunt pour l’achat du logement et 2/3 des propriétaires sans charges de remboursement cette p2rt ayant tendance à croîte sous l’effet du vieillissement de la population.

Dans le parc locatif, les parts respectives des bailleurs publics et privés atteignent 17 % et 23 % des résidences principales en 2017.